Journal de bord – 26 février 2020 (Berlin)
Logeur berlinois tu nous manqueras. Oui, je sais, les marques de clopes sur le rebord de ta fenêtre, les cris de joie à 3h00 du matin, le délicat parfum de gnole fermenté ne pourront jamais assez exprimer à quel point ton logis fut l’abri d’une famille d’ahuries, qui du fond du cœur, te remercie. C’est l’amour de Siegfried qui nous a happés. Bisous
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